Tumi jakhan esechile

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Tumi jakhan esechile – « Quand tu es venu »

Description de l'image Musical note nicu bucule 02.gif.
Chant de l'Éveil 903 
Sorti le 24 septembre 1983
À Madhumalainca, Kolkata
Auteur-compositeur Prabhat Ranjan Sarkar
Genre contemplation, bengali
Audio Tumi jakhan esechile
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Chants de l'Éveil

Tumi yakhan esechile – Quand tu es venu commémore la première dîksâ (« initiation ») donnée par Shrii Shrii Anandamurti. Cela se passait à Calcutta au bord d’un affluent du Gange à la pleine lune (púrńimá) du mois de juillet-août (shrâvana) 1939 ou peut-être 1940. Anandamurti avait dix-sept ou dix-huit ans, l’initié était alors un bandit craint du voisinage. Il devint ensuite le moine Kalikânanda. Ce chant est le 903e des Chants de l'Éveil ou Prabhat Sangiit écrits et composés par Prabhat Ranjan Sarkar.
Vous pouvez suivre les paroles translitérées et/ou traduites ci-dessous.

Paroles

Prononciation: En bengali, les a (courts) se prononcent o, le á a ; le y en début de mot se prononce "dj" peu appuyé, le u est un "ou". Le s et le g sont toujours durs. Le c et le ch sont respectivement tch et tchh. Le ṋ nasalise, les uṋ et iṋ sont des n respectivement "guttural" et palatal. Le ń un n rétroflexe.
Notez que hiyá (« cœur ») est une contraction poétique de hrdaya.
Tumi jakhan esechile est chanté en bengali par l'Ácárya Priyashivananda Avadhúta. Vous pouvez aussi consulter prabhatasamgiita.net.

texte translitéré bengali traduction française du bengali


Tumi yakhan esechile
Takhan púrńimá chilo
Lukocuri cáṋder sauṋge
Megher calchilo

Dúr ákásher niiháriká
Candanete chilo áṋká
Navágata ek baláká
Path bhulechilo

Kata jyotsná elo gelo
Hiyár ásan shúnya chilo
Tomár padadhvani halo
Hiyá sudháy bhare gelo
Sei baláká ábár elo
Path cine nilo


তুমি যখন এসেছিলে
তখন পূর্ণিমা ছিলো
লুকোচুরি চাঁদের সঙ্গে
মেঘের চলছিলো

দূর আকাশের নীহারিকা
চন্দনেতে ছিলো আঁকা
নবাগত এক বলাকা
পথ ভুলেছিলো

কত জ্যোৎস্না এলো গেলো
হিয়ার আসন শূন্য ছিলো
তোমার পদধ্বনি হলো
হিযা সুধায় ভরে' গেলো
সেই বলাকা আবার এলো
পথ চিনে' নিলো.

(La lune était pleine, (Refrain))
quand tu es venu, (Refrain)
la lune était pleine, (Refrain)
elle jouait à cache-cache,
par le mouvement des nuages,

Dans le lointain des nébuleuses se traçaient
comme dessinées à la pâte de santal,
Une nouvelle âme était là[1]
qui avait perdu son chemin.

Combien de lunes étaient passées
pendant lesquelles ce cœur était resté vide ?
Au son de tes pas,
mon cœur se remplit de nectar/de clair de lune :
cette âme est revenue !
elle reconnut et emprunta la voie.

Droits d'auteur

Ne considérer aucune des informations de cet article ou de ses liens comme donnant le droit de réutiliser la mélodie ou les paroles d'un des Chants de l'éveil ou Prabhat Sangiit sans l'autorisation préalable du détenteur du copyright: Ananda Marga Pracaraka Sangha.

Enregistrement

Tumi jakhan esechile sur Sarkarverse.

Notes

  1. La balâkâ (বলাকা), une petite oie blanche qui peut voler très haut, symbole de l’âme.